E’Joung-Ju est une musicienne coréenne qui joue du Geomungo (instrument traditionnel coréen à 6 cordes).
Fumie HIHARA est une musicienne japonaise qui joue du Shamisen (instrument traditionnel japonais à 3 cordes).
Deux instruments d’Asie d’Extrême Orient : la Corée et le Japon, une cithare et un luth ayant chacun leurs propres particularités !
Mais ayant aussi des similitudes dans leurs sonorités et leurs nuances ! Ce sont des instruments très rythmiques et percussifs !
Pour chacun de ces pays, ces instruments sont dits « masculins » or ici, deux femmes jouent de ces instruments, faisant corps avec eux.
Les deux musiciennes ont un jeu à la fois passionné, profond et d’une grande délicatesse.
Les répertoires sont traditionnels et contemporains provenant de la Corée et du Japon.
Les arrangements ont été faits de façon très personnalisée avec la touche artistique de chacune.
Officiel Facebook Page : https://www.facebook.com/soie.musique.Coree.Japon
Quatuor original conçu à l’initiative de Hô Thuy Trang,présante la musique tradirionnemme asiatiquesavec un répertoire varié acompagné aux quatre instruments typiques de quatre pays de l’Asie tels Koto(Japon), Guzheng(Chine), Gayageum(Corée) et Dan tranh(Vietnam).
Ces instruments à cordes pincées appartiennent à famille de cithares sur table.
Les cordes en soie et en métal, produisent des sons acoustiques et donnent des différents timbres.
Fil d’Asie se propose d’explorer le potentiel de ces instruments traditionnels afin de nous livrer l’expression la plus pertinente d’une expérience musicale qui lie le passé et le présent.
A partir de 2010, musicien de la Corée,la Chine et le Japon organisé par la chanson du Vietnam, ce projet a collaboration de l’Asie,les quatre grandes cultures qui cohabitent et se croisent depuis des millénaires aux confins de l’Orient.
Au début de la performance au Musée Guimet à Paris en 2010, les concerts à divers endroits sont menées régulièrement.
L’enregistrement de CD est effectuée à l’été 2012, il a été libéré dans le monde entier par Buda Musique-Musique du Monde en mai 2013.
“Musique : Ba Rang Ba Ri”
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“Musique : Giua Toi Trang Ram”
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Ce duo est développer la musique du 17éme siècle et chercher de nouvelles possibilités de composition entre la musique baroque européenne et la musique japonaise traditionnelle.
Avec Laure MOLABITO, la claveciniste ,ancien professeur de clavecin au CRR de Boulogne-Billancourt, nous avons aussi demandé à un compositeur japonais et à un compositeur français de créer de nouveaux morceaux pour cette collaboration.
1620, Mexico. Chimalpahin Cuauhtlehuanitzin, noble Aztèque écrit son journal dans sa langue maternelle, le nahuatl. Il relate l’arrivée d’une ambassade japonaise, dont les costumes, les visages, la musique, sont aussi stupéfiants pour les Espagnols que pour les Indiens. Cette ambassade est passée par Manille, aux Philippines, et se rend en Europe. L’empereur du Japon souhaite prendre langue avec le roi d’Espagne, et il envoie un samourai, Tsukenaga Hasekura, au-delà des mers. Il atteindra Séville, la France et Rome, avant de rejoindre l’Empire du Soleil Levant. Il y rapportera une viole de gambe, le plus précieux de ses trésors. Lors d’un autre voyage, des Jésuites qui rentrent du Japon, présentent en Espagne, de jeunes garçons japonais qui chantent admirablement les polyphonies catholiques. La pureté de leurs voix ravit les cathédrales de Grenade ou de Tolède. Au Japon, le face à face entre la viole de gambe et le koto, instrument emblématique de la culture de l’archipel, a duré peu de temps, mais il a laissé de nombreuses traces dans les récits de voyageurs. On rêvera aussi à la musique des Iles aux Epices, actuelles Philippines, étape obligée pour les Espagnols qui se rendaient en Asie, ainsi qu’au passage à Mexico de musiciens chinois et japonais. Cette histoire était trop étonnante pour ne pas devenir un conte, en mots et en musique, et pourtant, tout est vrai !